Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Un nouveau regard, les mots qui se détachent
Un nouveau regard, les mots qui se détachent
Publicité
Albums Photos
Archives
30 novembre 2007

Premier cours

Imaginer le fond... à chaque étape, regard perplexe, de l'imaginaire à la concrétisation, il y a mille pas.

Je sais ce que je veux, je ne sais pas ce que j'aurai...

DSCN1608

Publicité
Publicité
Commentaires
L
Oui je me mets à la peinture, un besoin de me diversifier. Bonne route à toi.
Répondre
M
Cher Lutin, <br /> <br /> Petit message ici sans aucun rapport avec ce tableau qui n'est finalement rien d'autre qu'un "premier cours" et sur lequel j'ai voulu mettre un peu de Van Gogh et de Goya <br /> Je me demande : premier cours cela veut-il dire que tu te mets à la peinture toi-même ?<br /> <br /> Cela dit, je t'écris juste pour te dire que j'ai supprimé mon blog : je me répète car j'ai dit la même chose aux autres qui avaient des liens sur celui-ci mais je préfère désormais écrire sur word, tranquille, en prenant mon temps et en publiant directement ensuite<br /> Je me sentirai ainsi plus libre et plus indépendant dans ma création<br /> <br /> Amitiés et bonne continuation dans ton art
Répondre
M
Lutin,<br /> <br /> Pour moi, ce tableau est un anti-coeur, il est violent, abrupt, écorché<br /> Il me fait penser à Van Gogh qui griffait ses tableaux avec ses ongles<br /> ça renvoie à la mutilation, à des mutilés, à des fusillés, à la guerre et à ses tragédies, à des fusillés donc (Goya n'est pas loin)<br /> Je pense que ce serait vainement qu'on chercherait du coeur là-dedans<br /> Mais ça n'engage que moi <br /> <br /> Amitiés
Répondre
L
Ce n'est que la première étape, le rouge, la fournaise, ce n'est pas anodin, les griffures non plus, mais maintenant il faut le coeur, je le vois, de la pensée à l'éxécution il y a mille pas .
Répondre
M
Un panneau aux pigments de volcans avec des griffures dans les trous et les reliefs, une table rêche comme une nature qui vole et tourne furibonde dans les étoiles de la nuit brûlante comme une fournaise, un énervement indicible qui a tué je ne sais combien d'hommes et de femmes, des tranchées même qui reviennent à la mémoire aveugle et blanchie de nos cervelles d'éternels fusillées<br /> <br /> Voilà ce que je vois dans ce rouge enflammé, en bref<br /> <br /> Depuis que je te suis, chère Lutin, je vois que tu es capable de grande choses<br /> <br /> Et merci pour le lien !
Répondre
Publicité