Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Un nouveau regard, les mots qui se détachent
Un nouveau regard, les mots qui se détachent
Publicité
Albums Photos
Archives
27 août 2006

Encre rouge

encre__rouge

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle

on l'a chanté si longtemps

Non pas encore ne tremble pas à la cime de ton arbre
un printemps prometteur au vert tendre
un été qui en dit long à la pointe du soleil

Ses rayons ont ancré l'éternel
rien ne pourra les chasser du lieu
même pas le vent
tu n'auras plus jamais froid

La racine laisse couler sa sève

une couleur rouge
si chaude
coule en moi

.

Comment veux-tu que je t'oublie ?

.

lutin - 27-08-2006


Publicité
Publicité
Commentaires
T
Lutin, attention à ne pas entendre mes mots et mon ressenti aux travers d'une médisance malsaine. Je suis très attentive à ton écriture et surtout fan.
Répondre
L
Marjas tes yeux lisent en transparence !<br /> <br /> merci de ta venue
Répondre
M
Je vois beaucoup de choses dans ce poème ! ;-)))<br /> Vigueur du sang, vigueur d'un lien qui écarte le froid de la solitude, refus du temps qui passe et des saisons "mauvaises"... J'y vois beaucoup plus encore...
Répondre
M
Comment veux-tu que je t'oublie...<br /> <br /> C'est vrai ce que dit Titbou (tiens, elle est de retour !), ton écriture change... et c'est bien ! Un poème ne doit pas s'expliquer, il ne faut pas chercher à le comprendre. Il faut s'en imprégner, le laisser chanter en soi, le laisser résonner, mûrir, correspondre à nos mots et il livrera son fil conducteur.<br /> Il ne faut rien forcer, rien précipiter mais entrer à pas de velours dans le texte d'un autre...<br /> Sur ce, je vais te relire !
Répondre
T
J'en rage de ne pas voir le fil conducteur.<br /> Bises Lutin
Répondre
Publicité