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Un nouveau regard, les mots qui se détachent
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10 avril 2012

Un cri, un spasme

 

 

 

Nuit plus noire que le sommeil
les ombres ne sont plus
Cheminée relançant les braises
La suie désagrège le ciel
La chouette pose son regard

 

Qui de l'enfant ou de l'homme
Prend fuite
La forêt alimente le feu
De brindilles le rêve naît
D'un ramoneur aux yeux fumigènes

 

 

 

lutine - 09-04-2012

 

 

 

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Commentaires
L
Bienvenue Edith. Merci Viviane alors si tu as ressenti cela j'ai réussi.
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V
J'aime cette strophe<br /> <br /> <br /> <br /> "Qui de l'enfant ou de l'homme<br /> <br /> Prend fuite<br /> <br /> La forêt alimente le feu<br /> <br /> De brindilles le rêve naît<br /> <br /> D'un ramoneur aux yeux fumigènes"<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> qui m'évoque à la fois l'enfant et les sortilèges ou le Roi des Aulnes.<br /> <br /> ET puis l'articulation des vers dont on ne sait plus qui est objet ou sujet ou complément et donne à entendre un feu continu, inépuisable...
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E
Nuit plus blanche que l'insomnie. De l'enfant ou de l'homme c'est l'adolescent qui prend la fuite. Mais l'enfant et l'homme ont ils vraiment existé ?
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