18 novembre 2008
L'abîme
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Il en tomba combien dans cet abîme
Et je disparaîtrai un jour dans le silence
De ce monde, c’est certain
Il en tomba combien dans cet abîme
Le vert de mes yeux, l’éclat de mes cheveux
S’éteindront au fil du temps
Il en tomba combien dans cet abîme
Dans ma chute se figeront les souvenirs
De ma vie resteront les images
De ce monde, c’est certain
La vie renaîtra
Et tout sera comme si je n’avais pas existé
Dans ce monde, c’est certain
J’aimerais laisser mon empreinte
Le vert de mes yeux, le son de ma voix
Vous qui m’aimez
Ecoutez-moi !
Il faut m’aimer encore du fait que je mourrai
Entendez mes cris du silence !
L’écho de ma chute où l’abîme m’entraîne
lutine
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