Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Un nouveau regard, les mots qui se détachent
Un nouveau regard, les mots qui se détachent
Publicité
Albums Photos
Archives
8 juin 2012

Au-dessus de l'herbe

 51457574_p

  

Quand le corps nexiste plus
Courb
é tel un roseau
Habill
é de chair
Il n
y a plus bruit ni odeur

Les ombres s
’échappent
Voleurs encapuchonn
és
Le jardin n
a plus de secret

D
un geste de la main
Quelques cristaux de couleurs
Dans la nuit de ton visage
Illuminent le ciel

 

 

 

lutine - 08-06-2012

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
L
quand le corps n'existe plus, les pensées restent légères ou lourdes, cela dépend. Merci Rechab pour ton écriture ici.
Répondre
R
Une brise soudaine le poussait , léger, oh, si léger,<br /> <br /> contre le banc, au pied de la buvette.<br /> <br /> <br /> <br /> Il était cette enveloppe, qu’habite la lumière.<br /> <br /> Une lumière que personne ne voit , même pas lui,<br /> <br /> <br /> <br /> Mais qui n’a pas de secret, et donnait la couleur de son regard.<br /> <br /> <br /> <br /> Un regard d’ombre, qui ne connaît du corps, que la pensée fugitive<br /> <br /> <br /> <br /> D’une apparition d’années.<br /> <br /> <br /> <br /> Ces années qui même en accumulées n’ont pas serti leur poids à l’épaisseur des jours. Il est,<br /> <br /> l’âme légère et le corps absent.<br /> <br /> <br /> <br /> Et la brise le portait, un peu plus loin, avec la poussière.., quand le corps n’existe plus , à<br /> <br /> proprement parler : léger, léger.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> RC – 19 juin 2012
Répondre
R
Elséar ?<br /> <br /> Je ne connais qu'Elzéard de Sabran qui par souci de mortification refusait le lait de sa nourrice<br /> <br /> ce qui nous ramène à ta chair que l'on efface lorsque le corps n'existe plus.<br /> <br /> Ton poème me pose la question de savoir si nous<br /> <br /> n'existons vraiment que désincarnés ?<br /> <br /> Sommes nous des ombres en suspension qui attendons<br /> <br /> que l'on vienne nous décrocher ?<br /> <br /> Il y a beaucoup à méditer dans ton texte.
Répondre
L
Je ne sais pas, elle est silencieuse, j'ai écrit en pensant à elle, utilisant sa sculpture, espérant que ses mains travaillent toujours la matière.
Répondre
A
que devient elle? <br /> <br /> <br /> <br /> j'avais reconnu ce style<br /> <br /> <br /> <br /> l'art efface la chair , le transcende c'est ce que dit ton poème
Répondre
Publicité