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Un nouveau regard, les mots qui se détachent
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6 juillet 2010

Opaline

DSCN5644

B - acrylique sur toile 46 x 65

.

Une trés belle interprétation poétique ci-dessous  de Hamster/Christophe

.

Coeur de verre

.

La femme en surfusion
Prise sous la lumière de la lune

Corps d'opaline
Laissait courir les veines bleues
Sous la peau fragile
Presque luminescente


Fine porcelaine sous la lampe
Parlaient tes mains sur la nappe
D'une transillumination

Mes doigts affolés
Couraient leur destin poli
Cherchaient l'instant secret
Aux courbes irisées de Diane

Adieu rêve de nacre

.

Hamster/Christophe

.

Mon écho

.

Elle n'était que lumière envahie d'ombre
Sous l'abat jour de la nuit
Elle ne marchait plus

Corps de verre
Un air d'oiseau sans ailes
Sous la peau couraient des bribes de mémoire

A l'autre bout de la vie
Tu t'inclines
Corps d'opaline

Tu oublieras jusqu'à ma voix
Le sang n'est que silence
Dentelle noire des adieux

Je porte le deuil

lutine - 06-07-2010

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Commentaires
L
Merci Jeanne. Oui Jean Pierre, on peut en faire un seul vers, un vers à quatre mains donc.
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J
Si j'avais du talent je me joindrais à vous, moi je ne sais que lire.<br /> <br /> Adieu rêve de nacre/Je porte le deuil<br /> <br /> une association lors de la lecture.
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J
par vos mots
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L
Coeur de Verre, une poésie qui habille parfaitement cette femme, merci Hamster.<br /> <br /> Merci Adeline et à toi aussi Viviane, d'avoir partagé cet échange.
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V
Un écho en miroir très réussi pour cette femme<br /> dont la peau transparente<br /> visage absent<br /> pieds et mains absents<br /> disent si bien l'oiseau sans ailes<br /> l'être déjà plus là
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